Appel à l’espérance

« J’espère. » 

Toute notre espérance doit être mise dans le Seigneur, parce qu’il est le seul vrai Dieu, parce qu’il nous a créés avec un éternel amour et nous a rachetés, en nous envoyant son propre Fils, J.C., Dieu et Homme véritable, qui a souffert sa passion et qui est mort pour notre salut. (Jn 3, 10-19)

Mc 6, 46-56 – Jn 14, 1-3 ;16, 32-33

Jésus nous assure que nous avons une place dans le ciel, si nous voulons suivre son chemin qu’il est lui-même Jn 14, 6.9 ; 10,30.

C’est dans cette identification de notre vie à la vie du Christ, victime d’expiation pour nos péchés, que notre confiance se fonde et devient forte. Car nous savons que c’est par notre union avec le Christ et par ses mérites que nous serons sauvés ; et que nous deviendrons agréables au Père dans la mesure où nous reproduirons en nous les sentiments de son Fils, J.C., de façon à ce que le Père voie en nous la face de son Verbe.

Parmi les grands sentiments de Jésus que nous devons imiter, il y a sa totale dépendance envers le Père et la pleine soumission à sa volonté. Jn 12, 49-50.

Auprès de Dieu, nous sommes tous ses enfants. Il est le Père de la grande famille humaine ; il nous berce tous dans le berceau de sa Providence et nous conduit sur les chemins de son amour.

Notre espérance a ses assises en Dieu, en sa parole, en son amour de Père, en sa main salvatrice. Comme des fils qui s’abandonnent dans ses bras, sûrs de son infinie miséricorde, nous savons que notre confiance ne sera jamais déçue.

Extrait du livre Appels du message de Fatima, sœur Lucie