Commence alors pour elle une vie de souffrances physiques et morales de grande intensité. Elle sera alors habitée d’un insatiable désir de souffrir et de s’offrir à Jésus pour qu’aucune âme ne se perde. L’intensification de ses souffrances la conduira progressivement à un état de paralysie et d’immobilité radicale. Puis vinrent les stigmates invisibles, le mariage mystique et les persécutions provenant très souvent de prêtres qui ne comprenaient pas ces phénomènes mystiques et considéraient tout cela comme de l’imposture. Son archevêque de l’époque, Mgr Giuseppe Bianchi Dottula délégua un confesseur personnel en la personne de Don Michele de Benedictis à qui Luisa va s’ouvrir en profondeur. Don Michele impose alors une limite à ses souffrances et lui ordonne de manger au moins une fois par jour même si elle devait immédiatement rejeter ce qu’elle avait ingurgité. Luisa va alors passer les soixante-cinq dernières années de sa vie dans l’inédie (phénomène extraordinaire qui consiste à vivre sans se nourrir et sans boire).
Dès 1888, elle garde le lit pour toujours comme victime d’expiation pour le salut des âmes et pour l’avènement du divin FIAT dans les créatures. Elle vit quasi quotidiennement la Passion de notre Seigneur et reçoit de lui des enseignements sur la vie dans la Divine Volonté. Ces enseignements commencent en février 1899 et s’achèvent le 28 décembre 1939.
Ils sont consignés dans trente-six volumes aujourd’hui publiés dans les principales langues avec le « Nihil obstat » de la Congrégation pour la doctrine de la foi, accordé le 28 mars 1994 par le préfet d’alors, le cardinal Joseph Ratzinger devenu le Pape Benoît XVI en 2005.
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