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Secret de Fatima

Un secret en trois parties

Marie confia aux enfants un secret en trois parties :

  • La première partie fut une vision de l’enfer. 
  • Dans la seconde partie, Marie donna des instructions pour sauver les âmes de l’enfer et ramener le monde au Christ. Marie dit : « Pour les sauver Dieu souhaite établir dans le monde la dévotion à mon Cœur Immaculé. Si ce que je vous dis est fait, beaucoup d’âmes seront sauvées et il y aura la paix. »
  • Le troisième secret est une vision prophétique concernant avant tout la lutte du communisme athée contre l’église et les Chrétiens.

Troisième partie du "Secret de Fatima" transcrit par Sœur Lucia le 3 janvier 1944 "Après les deux parties que j'ai déjà exposées, nous avons vu sur le côté gauche de Notre-Dame, un peu plus en hauteur, un Ange avec une épée de feu dans la main gauche. Elle scintillait et émettait des flammes qui, semblait-il, devaient incendier le monde, mais elles s'éteignaient au contact de la splendeur qui émanait de la main droite de Notre-Dame, en direction de lui. L'Ange, indiquant la terre avec sa main droite, dit d'une voix forte: Pénitence! Pénitence!, Pénitence! Et nous vîmes dans une lumière immense qui est Dieu, quelque chose de semblable à la manière dont se voient les personnages dans un miroir quand elles passent devant, un Evêque vêtu de blanc. 'Nous avons eu le pressentiment que c'était le Saint-Père'. Nous avons vu divers autres évêques, prêtres, religieux et religieuses monter sur une montagne escarpée, au sommet de laquelle il y avait une grande Croix en troncs bruts, comme s'ils étaient en chêne-liège avec leur écorce. Avant d'y arriver, le Saint-Père traversa une grande ville à moitié en ruine et, à moitié tremblant, d'un pas vacillant, affligé de souffrance et de peine, il priait pour les âmes des cadavres qu'il trouvait sur son chemin. Parvenu au sommet de la montagne, prosterné à genoux au pied de la grande Croix, il fut tué par un groupe de soldats qui tirèrent plusieurs coups avec une arme à feu et des flèches. De la même manière moururent les uns après les autres les évêques, les prêtres, les religieux et les religieuses, et divers laïcs, hommes et femmes de catégories sociales différentes. Sous les deux bras de la Croix, il y avait deux Anges, chacun avec un vase de cristal à la main, dans lequel ils recueillaient le sang des Martyrs, et avec lequel ils irriguaient les âmes qui s'approchaient de Dieu".