La Pologne est le pays de Jean-Paul II, de Soeur Faustine, du Christ Miséricordieux, du père Kolbe et de Notre Dame de Czestochowa. Elle a une histoire religieuse avec des églises baroques magnifiques.
Visite à travers les sites religieux les plus célèbres de Pologne : Niepokalanow, près de Varsovie, sanctuaire consacré au père Maximilien Kolbe, saint contemporain polonais, Czestochowa, rayonnante de la célébrité de la Vierge Noire et le monastère baroque de Kalwaria Zebrzydowska avec sa vierge Locale, lieu de prédilection du pape Jean-Paul II dans sa jeunesse.
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Centre mondial de la prière pour les défunts, le Sanctuaire Notre-Dame de Montligeon est un lieu d’accueil et de réconfort privilégié pour les personnes en souffrance ou en deuil. Les chapelains du Sanctuaire, prêtres de la Communauté Saint Martin, sont là pour vous accueillir, vous rencontrer, vous écouter et vous donner les moyens spirituels pour surmonter les difficultés de la vie. Ils proposent aussi de nombreux enseignements sur la foi chrétienne, en particulier sur ce qui touche la destinée éternelle de l’homme. Ils vous offrent le sacrement de la Réconciliation et de l’Eucharistie.
Véritable cathédrale dans les champs, le Sanctuaire vous offre un cadre idéal pour une retraite, un temps de repos au calme, au cœur de notre belle région du Perche. Nous vous y accueillons tout au long de l’année que vous soyez seul, en famille, en groupe ou en paroisse ; de passage pour la journée, en repos pour quelques temps ou participant à une activité spirituelle du Sanctuaire.
Et si vous faisiez du bien à votre âme ?
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Sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus et de la Sainte Face naquit le 2 janvier 1873, à Alençon. Elle était la dernière enfant de ses parents Louis et zélie Martin qui eurent 9 enfants. Cinq filles parvinrent jusqu’à l’âge adulte. Sa mère mourut en 1877 quand Thérèse avait quatre ans. Son père, un fabricant de montres, vendit son affaire et déménagea à Lisieux pour se rapprocher de l’oncle maternel de Thérèse (Isidore Guérin, pharmacien) qui y vivait avec sa femme et deux filles.
Quand Thérèse eut neuf ans sa sœur Pauline qui avait joué le rôle de seconde maman pour Thérèse, entra dans l’ordre des carmélites. Marie, sa seconde sœur, entra également dans le même couvent. Thérèse voulut y aller aussi, mais elle était trop jeune. Son père l’emmena faire un pèlerinage à Rome. Lors d’une audience générale avec le pape Léon XIII, elle lui demanda de lui donner l’autorisation pour entrer chez les carmélites. Le pape lui répondit « Mon enfant, faites ce que vos supérieurs décident ». Finalement en avril 1988, elle devint sœur carmélite. Céline, son autre sœur, entra bientôt dans la communauté. Léonie, la dernière sœur fut admise dans l’Ordre de la Visitation.
Les dernières années de Thérèse furent marquées par un continuel déclin physique dû à la tuberculose. Elle supporta résolument et sans se plaindre ses souffrances. En juillet 1897, on la transporta à l’infirmerie du monastère où elle mourut le 30 septembre, à l’âge de 24 ans. Sur son lit de mort, elle dit : « J’ai atteint le point de ne pas pouvoir souffrir davantage, car toute souffrance m’est douce ».
Thérèse, connue aussi comme « La Petite Fleur de Jésus », fut canonisée le 17 mai 1925 par le pape Pie XI. C’était 28 ans seulement après sa mort. Elle est fêtée le 1er octobre. Elle est la patronne des malades du SIDA, des aviateurs, des fleuristes, des missions. En 1944, le pape Pie XII la nomma co-patronne de la France avec Ste Jeanne d’Arc. En 1997, le pape Jean Paul II la déclara trente troisième Docteur de l’Eglise Universelle.
Fiche sanctuaire
2.5.0.0
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