Dans son livre « Mémoires de Sœur Lucie », Lucie raconte qu’à un moment donné sa mère tomba gravement malade et ses sœurs lui demandèrent d’aller à Cova da Iria, implorer Notre-Dame de la guérir.

Lucie fit ainsi et, priant entre pleurs et douleurs, promis à la Sainte Vierge que si sa mère se rétablissait, elle irait pendant neuf jours de suite, accompagnée de ses sœurs, prier le rosaire, parcourant à genoux, le chemin du sommet de la route jusqu’au pied du petit bois de chênes ; et que le dernier jour, elle emmènerait neuf enfants pauvres à qui elle donnerait à manger.

Sa mère se rétablit, et trois jours après, elle se leva et put s’occuper à nouveau des tâches ménagères. Emerveillée par sa guérison, elle accompagne Lucie et ses sœurs pour accomplir la promesse faite à Notre-Dame.

« Il vaut mieux ne pas promette que manquer à sa promesse. » Eccl 5,4

Les Saintes Ecritures et toute la Tradition de l’Eglise justifient et encouragent les promesses. La parole donnée doit être accomplie.