ROME
Jésus a institué son apôtre Simon comme Pierre sur lequel il fondait son église. A la croix, Il nous a donné sa Mère que le pape Paul VI a déclaré en 1964, Mère de l’Eglise.
C’est à Rome que les pè...
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Jésus a institué son apôtre Simon comme Pierre sur lequel il fondait son église.
A la croix, Il nous a donné sa Mère que le pape Paul VI a déclaré en 1964, Mère de l’Eglise.
C’est à Rome que les pèlerins viennent rencontrer de façon privilégiée les deux colonnes de la foi et de l’Eglise que sont : Pierre, Paul.
Ces martyrs (le mot grec pour témoin et martyr) ont choisi de donner leur vie et par là de devenir des confesseurs de leur foi de leur amour au Christ.
Rome, après Jérusalem a été le flambeau de la foi et le demeure avec les papes, successeurs de Pierre, évêques de Rome.
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MONT CASSIN
Le Mont Cassin est une montagne située à 130 km au sud de Rome, en Italie et à 1,5 km à l’ouest de la ville de Cassin.
Benoît de Nursie établit son premier monastère au sommet du Mont Cassin, (520 ...
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Le Mont Cassin est une montagne située à 130 km au sud de Rome, en Italie et à 1,5 km à l’ouest de la ville de Cassin.
Benoît de Nursie établit son premier monastère au sommet du Mont Cassin, (520 m) d’altitude.
Il devint le départ de l’ordre bénédictin aux environs de 529.
Le monastère fut construit sur un site païen ancien, un temple d’Apollon qui couronnait la montagne.
Une fois installé ici, Benoît ne partit plus. C’est au Mont Cassin qu’il écrivit la Règle Bénédictine qui donna les principes fondamentaux au monachisme occidental.
Il reçut ici la visite de Totila, roi des Ostrogoths en 580 et mourut peu après.
Il fut enterré dans la même tombe que celle de sa sœur, sainte Scholastique, moniale d’un couvent voisin.
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MUGNANO DEL CARDINALE/PHILOMENE
Sainte Philomène au sanctuaire de Mugnano des Cardinale
Nous connaissons la vie de sainte Philomène grâce aux révélations privées que la sainte a données à trois personnes différentes. Elle était l...
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Sainte Philomène au sanctuaire de Mugnano des Cardinale
Nous connaissons la vie de sainte Philomène grâce aux révélations privées que la sainte a données à trois personnes différentes.
Elle était la fille d’un roi en Grèce.
L’empereur Dioclétien voulait déclarer la guerre au père de Philomène. Celui-ci vint avec sa femme et sa fille de treize ans à Rome, espérant faire la paix.
L’empereur tomba amoureux de Philomène et demanda sa main à ses parents. Philomène refusa car elle avait prononcé un vœu de chasteté lorsqu’elle avait onze ans, elle était devenue alors l’épouse de Jésus-Christ.
Rien ne put la persuader d’épouser Dioclétien. Ni ses parents ni l’empereur. Après les promesses, les caresses, les menaces et les offres merveilleuses, il ordonna que Philomène soit torturée.
Elle fut attachée à une colonne et cruellement flagellée.
Puis on lui attacha au cou une ancre en fer et elle fut jetée dans le Tibre. Mais les anges coupèrent la corde et la ramenèrent sur la rive.
Son persécuteur ordonna de tirer des flèches sur elle. Mais Dieu la plongea dans un sommeil réparateur d’où elle se réveilla plus belle que jamais.
Finalement, fou de colère, le tyran ordonna que l’enfant-martyr soit décapité.
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San Giovanni Rotondo
Dans la province des Pouilles, à 43 km au nord-est de Foggia, San Giovanni Rotondo est situé sur la colline aride du Mont Gargano, où est apparu l’archange St Michel en 490.
Le moine capucin de Pie...
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Dans la province des Pouilles, à 43 km au nord-est de Foggia, San Giovanni Rotondo est situé sur la colline aride du Mont Gargano, où est apparu l’archange St Michel en 490.
Le moine capucin de Pietrelcina vécut à San Giovanni Rotondo à partir de 1916 jusqu’à sa mort le 23 septembre 1968.
En 1918, il reçut les stigmates qui durèrent cinquante ans mais disparurent à sa mort. Il fut canonisé par Jean Paul II le 16 juin 2002.
Padre Pio était capable de lire dans les âmes, de faire des miracles, et avait le don de bilocation (être dans 2 endroits en même temps). Mais surtout il aimait Dieu et les pauvres particulièrement les malades.
Sa messe était un moment de grande intimité avec les souffrances du Christ. Il est à l’origine de la construction d’un hôpital moderne, pour le soulagement de la souffrance.
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SERRACAPRIOLA/PERE MATTEO D'AGNONE
Le père Matteo d’Agnone à Serracapriola
Il naquit en 1563. Ses parents l'appelèrent Prospero et lui donnèrent une éducation profondément chrétienne qui lui permettait de voir et trouver Dieu en tou...
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Le père Matteo d’Agnone à Serracapriola
Il naquit en 1563. Ses parents l'appelèrent Prospero et lui donnèrent une éducation profondément chrétienne qui lui permettait de voir et trouver Dieu en toutes choses. A l'Université de Naples, il suivit les cours de la Faculté de Philosophie et de la Faculté de Médecine. Mais la beauté de l'idéal franciscain rayonna tellement dans son esprit qu'il préféra devenir frère capucin afin de pouvoir connaître davantage, à la lumière de celui-ci, les vérités de la théologie et devenir ainsi médecin des âmes.
Il fit son noviciat à Sessa Aurunca et après un bref séjour dans la province religieuse de Naples, il devint Capucin à Foggia. Il se fit remarquer par son amour envers la Sainte Vierge dont il défendit le dogme de l'Assomption stipulant qu’Elle est montée au ciel avec son corps et son âme. Il fut le Père supérieur local et provincial et devint un prêcheur savant et pieux. Il reçut de Dieu le don de prophétie et de miracles. Par la puissance du seul signe de la Croix, il opéra miraculeusement plusieurs guérisons à Agnone, à Vasto et à Serracapriola. Il fut un exorciste de premier ordre. De grandes souffrances physiques l'affligèrent de son vivant, mais il ne cessa jamais d'en remercier Notre Seigneur Jésus-Christ.
Trois mois avant sa mort, il fut envoyé au couvent de Serracapriola. Il mourut en odeur de sainteté le 31 octobre 1616.
Le 19 juin 1996, Mgr Cesare Bonicelli, évêque de San Severo, introduisit le procès de béatification et de canonisation du Père.
Frère Matteo d’Agnone avait le don de chasser le démon par une grande humilité
De son vivant, le Père Matteo avait le don des miracles et de la prophétie.
La renommée de sainteté du P. Matteo a été transmise par une tradition qui se passait de bouche à oreille.
C'est uniquement par tradition que l’on savait que le corps du P. Matteo avait été enterré dans l’Eglise des capucins de Serracapriola mais on ne connaissait pas l'endroit exact. Le 24 mars 1750, on trouva ses os précieux dans la Chapelle du Saint-Sauveur.
Le 5 mai 1751, l'évêque de Larino, Mgr Scipione De Laurentis, se trouvait à Serracapriola pour la visite canonique des paroisses. Il écouta le désir des Capucins de donner un meilleur emplacement à leur saint confrère; l'évêque présida à l'exhumation qui eut lieu à huis clos. On trouva quelques os des bras, une mâchoire avec des dents et d'autres os qu’on ne réussit pas à identifier. Les reliques furent placées dans un coffret de cyprès, fermé par une plaque en fer et entouré de rubans verts. Ce même coffret fut fermé et on y apposa les sceaux de l'évêque. On transporta la chasse dans une niche à coté de l’autel majeur. On lui donna ainsi une plus digne sépulture. La deuxième reconnaissance canonique eut lieu en 1978. Le corps du Serviteur de Dieu, le Père Matteo d’Agnone, est toujours enterré à côté de l’autel majeur de l’Eglise du couvent des Capucins de Serracapriola, où le Padre Pio vécut également.
Le plus important pour un prêtre qui a reçu le charisme d’exorcisme et de faire des miracles est d’être un homme de foi et de prière, et de toujours demander l'intercession de la Très Sainte Vierge. Il doit également toujours être humble, car un exorciste doit savoir qu'il ne vaut pas une chique sans Dieu. C'est le Seigneur qui fait le travail d'exorcisme. S’Il n’intervient pas, l’exorcisme ne vaut rien.
Le Père Matteo d’Agnone a été tout cela, voilà pourquoi le Seigneur a fait et continue à faire de grandes choses par lui, alors qu’il est décédé depuis bientôt quatre siècles.
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MANOPPELLO
Manoppello est une commune italienne d'environ 6 900 habitants, située dans la province de Pescara, dans la région Abruzzes, en Italie méridionale.
Le voile de Manoppello est une image de Jésus-Chr...
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Manoppello est une commune italienne d'environ 6 900 habitants, située dans la province de Pescara, dans la région Abruzzes, en Italie méridionale.
Le voile de Manoppello est une image de Jésus-Christ imprimée sur un byssus, un voile de 17,5 x 24 cm, à l'origine plus grand. Cette relique d'origine inconnue est arrivée à Manoppello en 1506, apportée par un pèlerin inconnu, qui a disparu sans laisser de traces immédiatement après la livraison au père Giacomo Antonio Leonelli. Il est conservé au sanctuaire de Manoppello (Pescara) dans les Abruzzes, à 190 km de Rome. Cette image aurait servi de modèle pour les représentations ultérieures de la Sainte Face. Benoît XVI a rendu visite au sanctuaire le 1er septembre 2006.
La description de l'image montre sur les deux côtés du voile le visage d'un homme encadré de cheveux avec du sang. Le visage a les yeux ouverts et représente une personne vivante. Le visage est tracé avec précision dans les traits des cheveux et dans les détails. La coloration est intense avec des nuances sur le brun. Les lèvres sont légèrement rosées.
Le front est haut, encadré de cheveux tombant sur les épaules avec des boucles. Les yeux sont bruns et regardent intensément de côté et vers le haut, laissant entrevoir le blanc de l'iris. L'homme porte une moustache clairsemée et une barbe divisée en deux parties.
Le visage est asymétrique, contusionné, avec un côté enflé. Le front et les lèvres sont mouchetés de rose, évoquant autant de plaies. La joue droite paraît enflée. Le nez est tuméfié est semble cassé. Les narines sont inégales. La barbe est partiellement arrachée par endroits.
Des taches se distinguent et pourraient être interprétées comme du sang, en particulier près de la bouche et du nez.
L'image pourrait être acheiropoïète — non fabriquée par la main de l'homme —, hypothèse supposant une origine divine.
Selon le professeur Don Vittori de l'université de Bari, ayant réalisé en 1997 un examen avec ultraviolet, les fibres du voile ne présentent aucun type de couleur, les observations microscopiques montrant que cette relique n'est ni peinte ni tissée avec des fibres colorées. Avec des techniques photographiques du zoom numérique, l'image serait identique des deux côtés du voile.
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COLLEVALENZA
Collevalenza est le lieu où Mère Espérance passe les derniers trente ans de sa vie, alternant, dans les premiers temps, les travaux du Sanctuaire et des bâtiments annexes, avec de fréquents voyages...
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Collevalenza est le lieu où Mère Espérance passe les derniers trente ans de sa vie, alternant, dans les premiers temps, les travaux du Sanctuaire et des bâtiments annexes, avec de fréquents voyages pour voir les communautés qui grandissent.
A ce moment-là, à l’apogée de sa vie, elle dit d’elle-même qu’elle se sent comme une flûte qui répand la mélodie de la miséricorde, comme la consolatrice des affligés, ou comme la portière du Bon Dieu qui ouvre les bras à tous pour les approcher de son cœur de Père.
Elle n’a jamais voulu être le protagoniste. Toujours, elle se considérait comme un simple instrument du Seigneur, et jamais elle ne s’attribuait les merveilles que Dieu opérait à travers elle. C’est Jésus qui était l’auteur, le protagoniste de Collevalenza ; elle était un simple instrument dans les mains de la Providence.
Le pèlerin qui arrive à Collevalenza se sent accueilli par une architecture moderne et sobre qui, avec un jeu intelligent de lignes concaves et convexes, semble vouloir l’envelopper dans une étreinte paternelle.
De plus, on perçoit une présence maternelle et on se sent conforté par « une foi vive, une espérance ferme et une charité ardente » qui ont guidé la vie de la Mère Espérance.
A Collevalenza, Dieu Amour Miséricordieux attend l’homme. L’atmosphère de ce sanctuaire aide à redécouvrir la miséricorde de Dieu. Paix, silence, prière et repos pour l’âme qui a besoin de Dieu.
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CASCIA
Cascia se trouve dans la Province d’Ombrie en Italie.
Marguerite Lotti naquit en 1381 à Roccaporena, près de Cascia. Elle était la seule enfant de ses parents Antonio et Amata qui était un couple d...
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Cascia se trouve dans la Province d’Ombrie en Italie.
Marguerite Lotti naquit en 1381 à Roccaporena, près de Cascia.
Elle était la seule enfant de ses parents Antonio et Amata qui était un couple de chrétiens fervents.
Ils arrangèrent pour Rita un mariage avec Paolo Mancini. Leur mariage fut béni avec la naissance de deux fils.
Paolo fut pour son épouse un véritable tyran. Dominé par un esprit de méchanceté, il faisait de son foyer un enfer. Il avait la boisson mauvaise et sa pauvre femme dut subir ses fureurs et ses brusques colères. Cela dura pendant 18 ans.
Un soir, il fut pris dans une embuscade et tué. Les fils de Rita voulurent venger la mort de leur père bien qu’elle leur donne un exemple de pardon.
Elle fut incapable de changer leur cœur. Alors Rita remit cette situation à Dieu. Ses deux fils moururent dans l’année qui suivit.
Rita devint une moniale augustinienne pendant les 40 ans qui lui restaient à vivre. Elle mourut le 22 mai 1457. Elle fut canonisée le 24 mai 1900.
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